La présence de passagers dans la voiture peut avoir des effets bénéfiques sur le conducteur :
Mais les passagers peuvent aussi avoir des effets néfastes, voire dangereux :
Ces situations font baisser l'attention du conducteur ou l'agacer, ce qui peut conduire à l'accident. Le conducteur doit alors essayer de faire abstraction de ces "pressions", voire s'arrêter pour régler un problème. C'est souvent la meilleure solution.
Les aides à la conduite regroupent de nombreuses technologies dites de sécurité active comme la détection d’usagers extérieurs, le régulateur de vitesse ou encore le freinage d’urgence. Ces dispositifs aident à mieux appréhender la route, même dans des conditions difficiles (traversée de zones de travaux, file de voitures impressionnantes au péage, etc.). Ces équipements sont très utiles pour sécuriser le trajet des conducteurs et éviter un accident ou une collision. Toutefois, ils ne remplacent pas l’intervention humaine, ni la vigilance et le respect du code de la route. Prenons un exemple : manger au volant n’est pas une infraction. Mais cela peut vous distraire et vous faire commettre un abus de priorité.
Donc au volant, restez concentré sur la route en toutes situations !
Lorsque le conducteur cherche son chemin, il est plus ou moins stressé et pas 100% attentifs aux indices nécessaires pour bien conduire.
Le G.P.S. peut aussi soumettre le conducteur à une certaine pression en donnant des instructions vocales, que le conducteur peut vouloir suivre à tout prix, presque "aveuglément". (En particulier s'il s'est trompé de route et que le G.P.S. le harcèle pour qu'il fasse demi-tour).
Dans ce cas, il est préférable là encore de s'arrêter et de faire le point sur son trajet, voire de couper le son du G.P.S. (qui est toujours une source de distraction).
En tant que passager, j'évite de perturber le conducteur. Je contribue à une ambiance sereine et attentive dans la voiture, et je ne l'incite pas à commettre des infractions ou à prendre des risques.
La pression peut aussi venir d’autres usagers sur votre trajet. Dans de nombreuses situations elle peut être source de stress et un facteur de collision ou d’accident. Par exemple, dans une circulation dense, un usager qui me suit, et qui multiplie les appels de phares (voire le klaxon) pour que je démarre plus vite, que j'aille plus vite, que je termine un dépassement plus vite, bref que je réagisse en urgence...
Dans ce cas, je me remets en cause, bien sûr : j'évalue la gêne éventuelle que je génère... Mais je garde mon calme, je ne me précipite pas, je ne prends pas de risques. Je ne réponds pas à cet usager pour éviter de faire monter les tensions.
Si la pression de la part cet usager a été trop forte, je m'arrête quelques instants afin de reprendre mes esprits.
Et bien sûr, je prends le problème à l'envers : j'évite de mettre un autre usager sous pression. Je fais preuve de compréhension et de courtoisie.