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Code de la route : les 5 fautes à éviter

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L'examen au code de la route approche à grands pas ! Une étape qui vous rapproche de plus en plus de la conduite, à moins que vous ne fassiez trop de fautes. En effet, un trop grand nombre d'erreurs vous empêchera de réussir l'examen. En Voiture Simone vous propose donc de vous entraîner au code gratuitement et autant que vous le souhaitez pour réduire le nombre de fautes. Pour progresser rapidement dans vos révisions du code de la route, au-delà des leçons, il vous faut acquérir quelques réflexes méthodologiques qui vous permettront d’éviter des erreurs qui peuvent coûter cher à la fin d’une série. En voici cinq :

1. Ne pas regarder tous les marquages au sol

Les marquages au sol sont porteurs de nombreuses informations capitales : le type de route sur lequel vous vous trouvez, l’autorisation (ou non) de dépassement… Quand une question traite de la “signalisation”, il ne s’agit donc pas que des panneaux ! Pensez également à regarder le marquage au sol sur la chaussée pour bien analyser la situation dans laquelle vous vous trouvez.

Bon à savoir

Tout comme pour l’examen théorique, certaines fautes à l’examen pratique ne pardonnent pas. Refus de priorité, obliger les conducteurs à s’arrêter en urgence, ne pas contrôler ses rétroviseurs, sont autant de fautes éliminatoires qui recalent le candidat. Pendant l’épreuve pratique ou théorique soyez très attentif à la signalisation pour éviter des fautes éliminatoires bêtes !

2. Ne pas regarder dans le rétroviseur

Dans la plupart des situations, les questions vous placent du point de vue du conducteur. Votre premier réflexe sera donc de regarder devant vous ou de vous focaliser sur l’action dont il est question dans l’énoncé. Mais attention ! Pensez à regarder dans le rétroviseur pour déceler des éléments susceptibles de rendre le choix moins évident qu’il n’y paraît (voiture en train de dépasser, vélo, etc). Certaines questions se jouent spécifiquement sur cet aspect !

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Bon à savoir

Le chiffre clé : 1 Il y a forcément UNE bonne réponse dans la liste des réponses qui vous sont proposées. Et forcément UNE proposition fausse.

3. Ne pas faire attention au mots-clés de la question

Les mots ont un sens, et c’est d’autant plus vrai dans le cadre de l’examen théorique du code de la route. Il ne s’agit pas ici de piéger le candidat à l’épreuve théorique, mais de le tester sur toutes les situations auxquelles sont confrontés les conducteurs. Donc, lors de l’examen du code, ralentir ne veut pas dire freiner. Des mots comme “uniquement”, “seulement” peuvent changer le sens d’une question. Pensez donc à bien lire et comprendre la question pour pouvoir y répondre de façon précise.

4. Ne pas marquer toutes les bonnes réponses

Attention, pour que votre réponse soit considérée comme juste, elle doit être intégralement correcte. Si vous sélectionnez deux bonnes réponses et qu’il y en avait trois, votre réponse est jugée fausse. Soyez donc attentif et selon la formulation de la question, sélectionnez TOUTES les bonnes réponses.

Dans une question en deux parties, il n’y a pas non plus de demi-point attribué. Il faut répondre correctement aux deux parties pour obtenir le point.

77,8% de réussite au code

Contre 56,6% de moyenne nationale

Une élève qui a obtenu le code grâce à En Voiture Simone

5. Confondre autorisation et obligation

“Je peux” et “je dois” ne veulent pas dire la même chose ! Si un panneau de limitation de vitesse est à 110 km/h et qu’il vous est demandé si vous pouvez circuler à 90, 110 ou 130 km/h, vous pouvez circuler à 90 et 100 km/h. Rien ne vous empêche de circuler à une vitesse inférieure à la limitation.

Autre cas de figure : en cas de neige, on vous demande si l'on peut allumer les feux de brouillard. Réponse : oui, c’est autorisé. Cependant si on vous demande si vous DEVEZ le faire, la réponse est non, car ce n'est pas obligatoire.

Bon à savoir

Lors de l’examen théorique, le candidat peut se retrouver face à des questions pièges sur des situations souvent épineuses. Par exemple, sur le comportement des usagers dans un carrefour équipé de feux tricolores ou sur le stationnement unilatéral à alternance semi-mensuelle. Lequel Il signifie que le stationnement est autorisé, mais d’un côté seulement et selon la date. Pour faire simple, on ne peut se garer QUE du côté des numéros impairs de la rue du 1er au 15, et que du côté des numéros pairs du 16 au 31.

Astuce : 1 est impair, donc du 1er au 15 il faut stationner du côté impair, et 16 est pair, donc du 16 au 31 il faut stationner du côté pair.